Publié le

Avec Xavier Bertrand, mobilisons-nous pour défendre l’avenir de notre circonscription!

Vendredi 13 mai, j’ai eu le plaisir d’accueillir Xavier Bertrand dans notre circonscription pour la visite d’un EPHAD près du quartier de Port-Royal et une rencontre avec les militants.

Nous avons pu discuter des conditions des personnes âgées ainsi que de l’avenir de notre circonscription.

Ensemble, nous sommes mobilisés sur le terrain pour vous écouter et agir dans l’intérêt de tous!

Retrouver l’article du Figaro ici:

https://www.lefigaro.fr/elections/legislatives/legislatives-2022-xavier-bertrand-reprend-du-service-pour-son-camp-a-paris-20220513

 

 

Publié le

Le vrai choix c’est maintenant!

Madame, monsieur,

Une majorité de Français a choisi de reconduire le Président de la République, je lui adresse mes félicitations républicaines. Cette victoire doit cependant être relativisée par l’ampleur inégalée de l’abstention (13,6 millions), des votes blancs et nuls (3 millions), mais aussi par le score extrêmement élevé de Marine Le Pen (13,3 millions). 

Tout cela en dit long sur la mauvaise santé de notre pays, et la détresse de nombre d’entre vous (fins de mois difficiles, prix de l’énergie, déclassement…) qui ne se sentent pas écoutés et n’attendent plus rien d’élus éloignés des réalités.

Dans un mois et demi auront lieu les élections législatives. Notre République est un régime parlementaire : le vrai choix, c’est maintenant. Par votre vote, vous élirez vos représentants locaux, élus de terrain, qui pourront orienter et corriger la politique de la France pour les cinq prochaines années.

C’est pourquoi je suis candidat aux élections législatives dans notre 13ème arrondissement (9ème circonscription) : élu local engagé, je veux répondre au désespoir aussi bien qu’aux espérances par l’écoute et par l’action. Je veux être un député local, un député du quotidien.

Je veux également être un député réformateur. Notre pays a besoin de changement, dans le respect du pluralisme démocratique. 

  • JE M’ENGAGE à vous protéger
  • JE M’ENGAGE à relancer l’activité et le pouvoir d’achat
  • JE M’ENGAGE à rebâtir notre cohésion nationale, notamment par l’éducation
  • JE M’ENGAGE pour que la politique française ne se réduise pas à un parti unique entouré des extrêmes de gauche et de droite.

Ces engagements ne sont évidemment pas exhaustifs et s’inscrivent dans l’action déterminée que nous menons au quotidien avec Rachida DATI pour changer Paris.

Seul élu local du 13ème à m’opposer au saccage de notre ville, je veux être encore plus utile à notre arrondissement.

Au plaisir d’échanger avec vous,

Sincèrement,

 Jean-Baptiste OLIVIER

 

Publié le

Intervention dans Le Parisien du 18/04/2022 concernant la fermeture de la Fnac Italie 2

« Après le Printemps en novembre dernier, c’est au tour de la Fnac, qui devrait quitter Italie 2 d’ici «la mi-août». La nouvelle inquiète salariés, élus et riverains du XIIIe arrondissement, qui pointent du doigt la «perte de vitesse» du centre commercial et des loyers trop élevés.

Par Céline Carez

Le 18 avril 2022 à 15h24
« Deux locomotives s’en vont coup sur coup. » De l’aveu de Jean-Baptiste Olivier, élu (LR) du XIIIe arrondissement de Paris, « c’est le coup de bambou ! » La Fnac installée dans le centre commercial Italie 2, place d’Italie (XIIIe), depuis 21 ans, va, contre toute attente, baisser le rideau. « On n’a pas encore de date précise, ajoute Évelyne Saunon, déléguée centrale du syndical Sud Fnac. Mais on nous a dit au maximum mi-août. » Le bailleur Hammerson, une foncière européenne spécialisée dans les centres commerciaux, n’a pas, dans un climat conflictuel, renouvelé le bail.
La Fnac emboîte donc les pas du Printemps, qui a fermé ses portes en novembre dernier. La librairie était sous-locataire du Printemps, qui fait partie du même groupe. Le grand magasin de la mode occupait, lui, 4 000 m2 — rez-de-chaussée et 1er étage — tandis que la Fnac, reliée par un escalator, était en sous-sol.

Des employés et des clients surpris

Vendredi dernier, en plein après-midi, l’ambiance était morose. « J’ai un pincement au cœur », souffle un des quelque 96 employés, sous couvert d’anonymat. « On ne sait pas très bien ce qui se passe, notamment où, quand et dans quelles conditions on va être recasé. Il y a des CSE prévus. On attend… » Au rayon BD, Nadir, quadra, résident du quartier des Olympiades, juste à côté, farfouille dans les bacs avec son fils. « J’ai appris la fermeture la semaine dernière. C’est incompréhensible. C’est la plus grosse librairie du XIIIe. Ça marche bien. Il y a du monde ! »

Selon Évelyne Saunon, déléguée centrale du syndicat Sud Fnac, « l’annonce de la fermeture a été violente. On n’a rien vu venir. » « Le 18 mars, à 17 heures, rembobine la syndicaliste, le directeur du magasin et le directeur de la Fnac-France ont débarqué. Ils ont donné ordre aux vigiles d’évacuer les clients. Ils nous ont réunis. On était ce jour-là une cinquantaine de salariés. Et là, ils nous ont annoncé qu’ils allaient rendre les clés au bailleur. Ça a duré dix minutes. »
« J’ai aussi beaucoup de mal à comprendre », lâche dépité Jérôme Coumet. Le maire (DVG) du XIIIe, qui suit le dossier, espère que « cette fermeture n’est pas complètement actée, que ce n’est pas cuit, qu’on peut encore le rattraper par les cheveux ». Même si reconnaît l’élu « les centres commerciaux ont souffert avec la période Covid ».

« Un signe de paupérisation du XIIIe »

Jean-Baptiste Olivier, pour qui « la nouvelle a été un choc », s’alarme : « Le départ de ces deux locomotives du centre commercial est un signe de paupérisation du XIIIe. » En passant, l’élu LR glisse que « le centre commercial Italie 2 est en perte de vitesse. Les loyers sont trop élevés. D’ailleurs, des boutiques ferment. »
Martine (le prénom a été modifié), l’une des rares commerçantes indépendantes du centre (le reste, ce sont des groupes, chaînes, franchises) installée ici « depuis des décennies », n’y va pas par quatre chemins : « Ce centre commercial est en train de mourir alors qu’au début, il y a 20 ans, tout le monde se battait pour avoir un pas-de-porte. » Martine se demande si le modèle centre commercial n’est pas « dépassé », s’il a vécu… En attendant, la commerçante ne sait pas « comment tenir financièrement. Les loyers d’Hammerson sont exorbitants. Pourtant, il y a de moins en moins de monde. Au mois de mars, mon chiffre d’affaires a chuté de 50 %. Beaucoup de magasins ferment. »

Le nom d’Ikea circule

Si la direction de Fnac Paris dit « regretter cette situation », l’inquiétude des salariés est bien réelle : « Ils ne peuvent pas nous licencier, assure Évelyne Saunon. Nous devrions être dispatchés entre les sept autres Fnac de la capitale (Halles, Ternes, Champs-Élysées, Saint-Lazare, Montparnasse, Beaugrenelle). Évidemment, la plupart des propositions que les RH nous ont faites ne correspondent pas. Le travail est moins intéressant, il y a moins d’autonomie. Et c’est souvent plus loin du domicile. » Et de rappeler qu’« un vendeur débutant à la Fnac gagne le smic ».

Reste à savoir ce qui va sortir de cette ultime négociation entre la Fnac et Hammerson « qui dure depuis l’été dernier et qui a mal tourné », tacle Évelyne Saunon. De ces négociations aux allures de partie de ping-pong et de dialogue de sourd, Hammerson souligne : « Nous avons tout mis en œuvre pour éviter cette situation. Nous regrettons vivement la décision de la Fnac qui a fait le choix de ne pas rester au sein d’Italie 2. » La Fnac parle, elle, de « procédure d’expulsion ». Ambiance…
Entre-temps et depuis quelques semaines, les rumeurs vont bon train… Le nom d’Ikea circule comme remplaçant entre les allées défraîchies du centre commercial Italie 2. « Ce départ est aussi une inquiétude pour les gens de l’arrondissement, assure Jean-Baptiste Olivier. Il ne faudrait pas que la Fnac soit remplacée par un maxi-bazar. » »
Publié le

Cérémonie commémorative de l’Appel du 18 juin 1940

Pour ce 80ème anniversaire, nous nous sommes recueillis en marge des cérémonies officielles en l’honneur du Général de Gaulle pour commémorer l’Appel du 18 juin 1940.
Plus que jamais nous devons saluer sa mémoire, et être fiers de notre Histoire.